Saint Vallier

Des adieux en trompe l’oeil sous la forme d’un pot de départ, de faux adieux. Partant du principe qu’on ne peut plus rien dire, l’humoriste fait mine de s’y résoudre pour se lâcher de plus belle :  » L’humanitaire, la famille, la religion, la mort, la politique, Macron et son gouvernement, les gilets jaunes « … Guillon n’oublie personne, prenant un malin plaisir à dire ce qu’il ne faut pas dire, à être où il ne faut pas être. Dans une période oh combien sensible, un spectacle revigorant, salvateur, aux vertus profondément cathartiques .