Au programme de C à vous la suite : Invité : Stéphane Guillon
- Stéphane Guillon : Enfin gentil ?
- Stéphane Guillon : saignant à point
- Stéphane Guillon : mordant !
- Stéphane Guillon dissèque l’actualité
J’aimerais beaucoup refaire de la radio mais de la télévision : non. J’ai eu la chance de connaître les dernières années d’une télévision qui était bon enfant.
Je n’aime pas ce que sont devenus certains talk-shows, voilà, avec des faux happenings, des tribunaux populaires, avec des gens qui se font dézinguer. Je suis nostalgique d’une télévision qui était quand même celle que j’ai faite avec Stéphane Bern dans les années 90. On aimait, on était critiquable mais jamais on aurait piégé quelqu’un sur un plateau, jamais on aurait assassiné quelqu’un sur un plateau.
A propos d’Emmanuel Macron :
https://www.youtube.com/watch?v=JCfoMqP8tFA
Je n’ai pas envie d’aller sur lui, parce que je crois qu’il n’est pas responsable finalement. C’est ce que je dis dans le spectacle, je dis : ‘Un homme qui était fait pour être mannequin cabine chez Hugo Boss et qui se retrouve président de la République, je n’ai pas envie de l’accabler. Je n’ai pas envie de lui taper dessus, donc voilà. Il n’est pas là, il n’a pas les codes, ce n’est pas de sa faute.
A propos du COVID :
J’ai fait la première souche, la chinoise. 3 500 morts pour 1 milliard d’individus. Un virus de merde, comme tout ce qui est fabriqué en Chine.
J’ai stocké du papier et j’avais trois placards à la gueule. Et le jour du déconfinement, j’ai regardé ça et je me suis dit : ‘Qu’en faire, qu’en faire ?’. Condamner à manger du melon tout l’été pour espérer s’en débarrasser.